Biographie Evene du Jojo
Les gens m'appellent l'idole des jeunes...
Johnny Hallyday, de son vrai nom Jean-Philippe Smet, évolue très jeune dans le milieu artistique. Recueilli par sa tante, une danseuse, à la séparation de ses parents, il mène avec elle et ses deux cousines une vie itinérante. Il n’a que 13 ans quand il monte sur scène pour la première fois. Cela se passe à Copenhague où il interprète 'La Ballade de Davy Crockett'. En 1957, il assiste à la projection du film 'Lovin’ You’, mettant en vedette son idole Elvis Presley. C’est le déclic. Il sera chanteur de rock’n’roll. En décembre 1959, il participe à l’émission 'Paris cocktail'. Remarqué par le directeur artistique de Vogue, il est engagé immédiatement. Jean-Philippe n’a que 16 ans et devient Johnny Hallyday. Du twist au yéyé en passant par la soul, la variété et même le cinéma, le rocker au cœur tendre ne cesse d’enflammer son public. Une forte présence, des mises en scène grandioses et une voix dont la puissance et les intonations rauques font son image de marque. Parmi ses albums les plus connus, on compte ‘Johnny chante Hallyday’ (1965), ‘Derrière l’amour’ (1976), ‘Lorada’ (1995), ‘Sang pour sang’ (1999), ou encore ‘Le Coeur des hommes’ (2007) et ‘Ça ne finira jamais’ (2008). De génération en génération, les fans sont là pour suivre "l’idole des jeunes". Il alimente périodiquement la presse people par ses frasques, sa vie sentimentale et certaines affaires judiciaires. Ses shows grandioses, ses tournées, ses millions de disques vendus reflètent la passion que déchaîne ce chanteur emblématique.
Diego (Michel Berger)
Je serai là
Interview "Elles et Eux de la chanson" du 24 octobre 2005 J'ai vu que vous avez écrit un texte sur Johnny, je ne sais pas si c'est pour ou contre, mais cela nous a accroché, come une sorte de passage de témoin entre les générations.
L.L. : Je ne me permettrais pas d'attaquer quelqu'un, la façon dont les gens l'aiment je n'ai rien contre lui ni contre l'affection que les gens peuvent lui porter. C'est ^lutôt un texte affectueux, qui s'étonne des élans d'amour déraisonnables d'un public qui peut aimer parfois excessivement un chanteur. Et surtout, je voulais dévoiler la fin de ces histoires d'amour sincère, quand nous pouvons contempler les politiques s'afficher avec le chanteur pour être ^lus "peuple". Cela a le don de me mettre en colère. De Robert Hue à Sarkozy, maintenant ils s'affichent à la tête avec Johnny, histoire de se mettre bien avec le "populo". Vois Sarkozy faire la bise à Johnny chez Drucker, c'est nous prendre pour des cons ! je trouve cela extrèmement dangereux.
L'idole des jeunes est célébrée par Loïc Lantoine qui se met dans la peau d'un fan absolu ...... on le sent bien qu'il l'aime Johnny ... c'est à la fois un hommage et un costard à Johnny (zicazic) [ archive]
Et chez l'ami Pierrot , on aime Johnny !
NNY
Qu'on me parle plus de mes vieux parents Le premier qui l'fait je lui rentr'dedans A peine si j'irai à leur enter'ment Y m'en reste qu'une mais j'leur garde une dent Y'zont tout jeté dans l'déménag'ment Tous mes vieux vinyles sans ménagement En disant mon grand tu n'a splus vingt ans Je leur caus'rai plus et jamais je mens Ooooooooooooh! Faut pas dire du mal de Johnny Ni De Johnny
Les débuts de "Johnny" avec Mon Côté Punk, Loïc Lantoine fait encore partie du groupe. Et le public est à fond !
Qu'on me parle plus de ma fille Laura
Et mon héritage crois pas qu'elle l'aura
Elle aime pas le rock préfère Barbara
Elle doit êtr' d'la touffe ou j'm'y connais pas
Ça a commencé elle m'a dit :"papa
Ton rocker de coeur tu l'as vu mille fois
Y'a pas que ça lis ce bouquin-là
Tu vires au ringard va à l'opéra
Ooooooooooooh!
Faut pas dire du mal de Johnny
Ni
De Johnny
Qu'on me parle plus d'mes anciens amis
C'était déjà louche qu'y z'aimaient Eddy
J'avais passé l'éponge mais c'est vendredi
Ils m'avaient invité à bronzer dans l'midi
Que cette grosse conne je dis ce que j'dis
A lavé l'tee-shirt celui où Johnny
En 78 avait tout vomi
Elle m'dit c'est pas grave l'était pas joli
Ooooooooooooh!
Faut pas dire du mal de Johnny
Ni
De Johnny
Là où j'me rassure c'est qu'à la télé
Y avait des savants des intellectélés
Qui disaient malgré tout tout ce que je sais
Je n'ai jamais rien vu d'aussi vrai
Et y en ont lu des livres vu des films compliqués
Des académiciens nippés en livrée
Qui disent que c'est charmant du Johnny Hallyday
C'est bien qu'est-c'que j'disais y fallait pas m'faire chier
Ooooooooooooh!
Faut pas dire du mal de Johnny
Ni
De Johnny
le 25 janvier 2014, Johnny, qu'on ne
voyait plus "invité" au côté de Loïc Lantoine,
ressurgie sur scène avec Karim Arab à la guitare.
NNY sur tout est calme
Le 4 mars 2008 à Chatillon sur Seine ... incomplet
..... Suite du 4 mars 2008 (il manque un bout au milieu ... et la fin) .... hasard de vidéos ...
NNY avec un accordéon :
Johnny passe à la télé ... "Ce soir ou jamais" LOIC LANTOINE chez Frédéric Taddeï le 8 nivembre 2006.
Leur premier album s'appelait Badaboum. Le second du duo Loïc Lantoine et François Pierron, amateurs de « chansons pas chantées », ne pouvait donc s'appeler que Tout est calme. Reste qu'à la veille de la présidentielle, il fallait oser. Comme de nous livrer Nny, gentille moquerie à l'égard d'un fan de « l'idole des jeunes » qui a pour refrain « Faut pas dire du mal de Johnny ! » Bizarre lorsque l'on sait que leur hymne aura longtemps été Mon côté punk au point d'en faire un groupe. Interrogé à ce sujet, Loïc se cache derrière son demi ; quant à François, lui, on dirait qu'il cherche pour s'en faire un abri, sa « mémère », cette contrebasse que d'ordinaire il enlace. Mais sur la table du troquet, il n'a que l'archet. « Attention ! Qu'il n'y ait pas d'amalgame. Ce n'est qu'une chanson à propos d'un fan de Johnny », assure ce dernier. Et son comparse de poursuivre : « Comme beaucoup, on a de l'affection pour le personnage. Même s'il nous énerve à claquer la bise à Sarkozy. » Et d'expliquer, lui qui, sur ce morceau, arrache sa chemise pour plastronner avec un tee-shirt à l'effigie d'un Jojo désormais trop national : « Avant, ce tee-shirt, je le gardais jusqu'à la fin du concert. Désormais, je remets la chemise... »