Thomas Pitiot, né en 1975, est un chanteur français vivant à Aubervilliers.
Il est le fils de Gérard Pitiot, auteur-compositeur- interprète..
En 2002, son premier album qui mêle déjà influences françaises et d'Afrique Noire reçoit un bon accueil critique.
En 2004, il sort un petit disque au tirage limité « Le Baron Perché », contre Ernest-Antoine Seillière.
Son deuxième album « La Terre à Toto » rencontre en 2005 un accueil qui le conduit à deux années de concert avec notamment Loïc Lantoine, Agnès Bihl, Toma Sidibé et Casey.
Il est le fils de Gérard Pitiot, auteur-compositeur- interprète..
En 2002, son premier album qui mêle déjà influences françaises et d'Afrique Noire reçoit un bon accueil critique.
En 2004, il sort un petit disque au tirage limité « Le Baron Perché », contre Ernest-Antoine Seillière.
Son deuxième album « La Terre à Toto » rencontre en 2005 un accueil qui le conduit à deux années de concert avec notamment Loïc Lantoine, Agnès Bihl, Toma Sidibé et Casey.
Interview et live au festival à travers chants
Walou
Walou
En 2007, il est parmi les créateurs du Festival Aubercail, le festival des mots dits à Aubervilliers, festival de chansons qui se déroule en mai chaque année.
En 2008 sort son troisième album Griot.
En 2008 sort son troisième album Griot.
Photo de Al Marina
Dans cet album, il chante en duo avec Loïc Lantoine "Ils Vendent tout", paroles et musique de Thomas Pitiot.
Thomas Pitiot est un cas. Un chanteur de France et du monde, amoureux de l'Afrique et de ses rythmes, qui a dû aussi écouter les rimeurs engagés de l'hémisphère Nord. A l'heure de son troisième album, il est en tout cas l'enfant métissé de ces deux matrices : Pitiot fait une chanson française au verbe toujours pesé (voire parfois un peu pesant), mais aux mélodies souvent voyageuses, nourries de reggae, des sons du balafon ou de la kora. Son grand talent : parvenir à fondre un inextricable alliage, et pas un artificiel placage. C'est ainsi qu'il chante au plus près les rêves perdus de Mamadou, désillusions cachées dans une chambre de foyer ; ou se lance avec Loïc Lantoine dans un réquisitoire sans appel contre les lois sans foi du marché. On n'applaudit pas tout : les emportements peuvent être trop simples et les cibles trop faciles. Mais quand Pitiot chante joliment l'enfance, les vagabondages d'un chauffeur de taxi, ou quand il reprend avec son père, Gérard, un vieux titre enjoué et désespéré de François Béranger, il nous ramène de son côté.
