Dans la liste des chansons qui étaient susceptibles
de se retrouver sur "les ailes de JéHaN", il y avait
aussi "Ivry dire".
Ivry dire
paroles de Loïc Lantoine,
mis en musique par JéHan Cayrecastel
C'est depuis la Courneuve, où l'on fête les hommes,
Qu'une fière flêche rouge perce le coeur de Paris
Je m'en vais à Ivry où les amours sont bonnes
Pour causer météo au café d'la mairie.
Ici Casanova ne drague pas au bistrot,
Une femme a là-bas renchéri sur son nom
Et quand j'ai le coeur vide j'y viens vivre de trop
A l'ombre de ces tours des géants font les cons.
Ivry dire
Je viens boire ta légende
A vrai dire
C'est que j'aime tes gens
Eh ! Les gars ret'nez moi ou j'vous fait un bonheur
Bande d'obèses du coeur avec vos tronches cassées
J'ai plus pied, on se marre une marée de bonnes heures
Et quand vient le reflux j'en ai presque eu assez.
Allez v'nez on s'engueule pour pas se dire qu'on s'aime
C'est quoi, le temps vous Prest à vous cramer si vite ?
Moi je suis tout rempli mais j'en reveux quand même
De Coco à Nanar, on met mes peurs en fuite
Ivry dire
Je viens boire ta légende
A vrai dire
C'est que j'aime tes gens
.......................................
La chanson ne s'est pas retrouvée sur "les ailes de Jéhan"
ni sur aucun autre, mais elle a vécu un peu sur scène,
dans les débuts du duo, ici, en live à l'Ailleurs, à Paris.
paroles de Loïc Lantoine,
mis en musique par JéHan Cayrecastel
C'est depuis la Courneuve, où l'on fête les hommes,
Qu'une fière flêche rouge perce le coeur de Paris
Je m'en vais à Ivry où les amours sont bonnes
Pour causer météo au café d'la mairie.
Ici Casanova ne drague pas au bistrot,
Une femme a là-bas renchéri sur son nom
Et quand j'ai le coeur vide j'y viens vivre de trop
A l'ombre de ces tours des géants font les cons.
Ivry dire
Je viens boire ta légende
A vrai dire
C'est que j'aime tes gens
Eh ! Les gars ret'nez moi ou j'vous fait un bonheur
Bande d'obèses du coeur avec vos tronches cassées
J'ai plus pied, on se marre une marée de bonnes heures
Et quand vient le reflux j'en ai presque eu assez.
Allez v'nez on s'engueule pour pas se dire qu'on s'aime
C'est quoi, le temps vous Prest à vous cramer si vite ?
Moi je suis tout rempli mais j'en reveux quand même
De Coco à Nanar, on met mes peurs en fuite
Ivry dire
Je viens boire ta légende
A vrai dire
C'est que j'aime tes gens
.......................................
La chanson ne s'est pas retrouvée sur "les ailes de Jéhan"
ni sur aucun autre, mais elle a vécu un peu sur scène,
dans les débuts du duo, ici, en live à l'Ailleurs, à Paris.
Les Ailes de Jehan (critique de la dépèche du 11 mars 1999)
Tous ceux qui aiment la chanson — et la chanson toulousaine en particulier — savent depuis longtemps déjà que la reconnaissance du talent, ici, ne passe pas forcément par les ondes. La preuve : vous connaissez Jehan ? Nous, oui.
Et même si il multiplie ici ses passages sur scène, jamais nous ne nous lasserons de vous interpeller.
Jehan chante donc aujourd'hui et pour la seconde fois en quelques mois à peine sur les planches du Théâtre de la Digue. Mais cette fois, plutôt que de venir, en solo, nous inviter à découvrir le disque (superbe) qu'il a tout récemment signé grâce aux éditions Milan (CD Divin Dimey), le voici aujourd'hui dans un spectacle tout neuf. A tire d'ailes. «Les Ailes de Jehan», dit-il tout fier d'avoir autour de lui rien que des gens qui lui donnent — et qui nous donnent des ailes : Jacques Brel, Louis Aragon, Léo Ferré, pour ceux qui lui ont donné un jour l'envie de monter sur scène ; Allain Leprest (tiens, celui-là, il a trois «ailes» d'un coup — qui a dit dans l'aile ?...) et Loïc Lantoine, pour ceux qui lui donnent aujourd'hui l'envie d'y rester.
Et avec leurs chansons — ces deux auteurs sont de sacrés manipulateurs de mots —, Jehan nous invite à un nouveau voyage escorté d'un accordéon (Thierry Roques, qui a accompagné Romain Didier, Serge Reggiani, Jean Guidoni... et qui est aussi le frère de Jean-Louis le fidèle complice de Renaud) et d'un sacré percussionniste (Tony Marcos, qui a notamment déjà brillé au côté de Bernardo Sandoval).
Ah ! Oui. Nous allions oublier. Et c'est Jehan (de son vrai nom Cayrecast-aile), chanteur zélé lui-même qui nous l'a soufflé : dans ce spectacle aussi, il restera la place pour quelques reprises... Et pour autant de rappels — «vive la musique vivante !», dit-il encore — que vous le souhaiterez.
En 1999, Jehan enregistre un album de chansons d'Allain Leprest et Loïc Lantoine uniquement "les ailes de Jéhan". Jehan compose les musiques.
En 2000, Jehan, Allain Leprest et Loïc Lantoine monte le spectacle "Ne nous quittons plus". François Pierron est déjà présent.
Critique "Choc du monde de la Musique" en 1999
Et si vous avez aimé les extraits, alors vous aimerez l'intégral :
Les ailes de Jehan, album complet
(l'album n'est plus distribué)
En 2000, le trio Jéhan, Allain et Loïc monte un spectacle : "Ne nous quittons plus" :
Anecdote à propos de la pochette : L'oie, le coq et le poussin sont des animaux appartenant à Jehan. Il avait 2 oies qu'il avait nommées Landrain et Landrine, pensant avoir un couple .... mais il n'y a jamaie eu d'oeufs puisque c'était 2 mâles, (de sacrés teignes, Loïc Lantoine n'était pas rassuré). Francof, le coq, n'a pas du tout d'origine slave, comme son nom pourrait l'induire, mais Jéhan l'a eu juste après qu'il ait été programmé pour les Francofolies pour son Divin Dimey.
JeHaN :
"Un très bon souvenir avec Allain Leprest et Loic Lantoine. C'était en 98 pour le spectacle "Ne nous quittons plus". Déjà, la séance photo fut une aventure. Les animaux n'ont pas souffert et on reconnait le plus coq des 3."
