MA MÈRE TRAINE AU CAFÉ
2003 | V.Music
2003 | V.Music
L'album "Ma mère traîne au café" a été enregistré au studio 1 à Paris et mixé à Lyon par Christophe Allègre. Réalisation artistique Etienne Vitté. Album gratifié par le "Coup de coeur de l'académie Charles Cros" et les "Bravos Trad magazine"
La java de l'ours dans l'aquarium
La tête dans le sac
Ma mère traîne au café
La Muette à Drancy (Ochs/Ochs)
Sans doute l'une des chansons que je suis le plus content d'avoir écrite et jouée avec Rue de la Muette lors de nos nombreux concerts, à cette époque. ça parle de gamins, d'amour, du soleil de l’été, du bonheur d'être avec ceux qu'on aime et d'être en vie, puis ça se termine dans le camp de Drancy de sinistre mémoire, dans les antichambres de la mort! Mais c'est une chanson sur l'énergie et la force de la vie et de ses morsures ! Ça se termine par un cri qui délivre: "Sortez nous tous d'ici!"...
Patrick Ochs
APRÈS LA FÊTE
2001 | V.Music
L'album "Après la fête" a été enregistré au studio Prosystem à Chateau L'évèque sous la direction de Jean Paul Trombert. Production "Sous le soleil quand il passe" et France Bleu Périgord. Album gratifié par "fff Télérama"
Après la fête
Poursuit le vent
La fille aux éléphants
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Patrick Ochs, c'est aussi de la photographie :
Parti pour traverser le monde sans le regarder, parti trop vite, ou d'un pas trop lent.
Je suis parti. J'ai quitté mon vieux travail, mon costume gris et ma cravate bleue marine .
Parti chanter avec le groupe Rue de la Muette . Mes costumes de scène imitaient vaguement ceux des photos d'August Sander, artiste de l'Allemagne des années 1930.
5 albums et un bouquin.Nous avons beaucoup voyagé. Mais les voyages m'ennuyaient!
©Rue de la Muette-Patrick Ochs . l’affiche du spectacle "presque seul(s)"
Je n'étais là que pour le spectacle du soir! Je réflechissais, je râlais, je faisais le malin, puis je passais sans me voir. sans regarder...
Alors, je ne faisais que des images vite fait, pour me souvenir de l'escalier qui menait de la scène à la loge où parfois je roupillais.
Mes amis musiciens s'installaient et rigolaient. Je me faisais des copains. Je m'endormais dans le silence de ma chambre d'hôtel, loin du vacarme.
Sans regarder !
Alors, je ne faisais que des images vite fait, pour me souvenir de l'escalier qui menait de la scène à la loge où parfois je roupillais.
Mes amis musiciens s'installaient et rigolaient. Je me faisais des copains. Je m'endormais dans le silence de ma chambre d'hôtel, loin du vacarme.
Sans regarder !
Jacques Poulain par Patrick Ochs
